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Michael Moore-TPE

16 février 2007

Michael Moore - Sicko

Le nouveau film de michael moore sortira dans les salles dans le courant de l'année 2007!!! Mais pour l'instant on ne sait presque rien du film.

Michael Moore s'attaque maintenant aux disfonctionnements du systeme de santé Americain : la Health Maintenance Organization (HMO)

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15 février 2007

Michael Moore aux oscars

Michael Moore profitant de son prix aux Oscars pour dire "Honte a vous" à George WW.Bush

15 février 2007

Moyens et procédés filmographiques et humouristiques.

Extrait de Bowling For Columbine

Histoire de l'USA

Extrait du film Bowling For Columbine où un dessin-animé a été intégré pour expliquer l'histoire de l'Amérique de façon ludique et amusante tout en se fichant des Blancs Américain peureux et meutrier.

14 février 2007

Résumé du Film Bowling For Columbine

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Bowling For Columbine

Michael Moore fait d'abord le constat que les Américains aiment les armes; elles font partie de la culture américaine. La détention d'armes par les particuliers est autorisée par la Constitution des Etats-Unis (2ème amendement) et celles-ci sont en vente libre. Les partisans des armes se justifient en déclarant qu'un homme sans arme est irresponsable; il faut être capable de défendre sa famille.

Michael Moore tourne en dérision cet argument en montrant que les armes sont mortellement dangereuses.

Le réalisateur montre ensuite que les détenteurs d'armes sont de toutes sortes: de simples particuliers, des adolescents déboussolés, des personnes potentiellement dangereuses... Mais l'Etat détient aussi des armes (des armes de guerre), ce qui amène Michael Moore à se demander s'il y a un lien entre la violence exercée par l'Etat (les guerres menées par les Etats-Unis) et la violence individuelle? Il soutient que oui: en montrant toutes les interventions militaires des Etats-Unis qui ont fait beaucoup de victimes, en soulignant que la tuerie de Columbine a eu lieu juste après les bombardements les plus massifs de l'Otan sur le Kosovo, et en établissant un lien entre la ville où a eu lieu le massacre, Littleton, et le fait qu'on y fabrique des armes de guerre (l'usine Lockheed Martin).

Depuis la tuerie du lycée de Columbine, on se demande pourquoi les enfants et les adolescents sont violents.

À cause de la violence à la TV, dans les jeux vidéo, dans les chansons de Marilyn Manson? C'est aller un peu vite: dans d'autres pays, cette violence est aussi à la portée des enfants, mais il y a moins de violence dans les actes.

Pourquoi les Américains sont-ils différents des autres?

L'hypothèse que soutient Michael Moore est la suivante: c'est la culture de la peur qui est entretenue par les médias qui fait la différence entre les Etats-Unis et les autres pays. Et cette peur fait marcher le commerce.

Mais la peur se focalise sur de faux problèmes; les vrais problèmes ne sont pas «porteurs»: la pollution, les défaillances du système social, la pauvreté.

Michael Moore défend cette idée en comparant les Etats-Unis au Canada où les gens ont moins peur d'une criminalité «sauvage» (la peur est beaucoup moins entretenue par les médias) et où un système social efficace existe.

Enfin, dernier exemple pour appuyer sa thèse, le meurtre d'une petite fille par un petit garçon à Flint a focalisé l'attention, mais cet accident est dû, selon le réalisateur, aux inégalités sociales et cache une autre tragédie qui est le sinistre économique de la région, causé par la fermeture des usines General Motors.

Michael Moore demande ensuite des comptes aux personnes responsables des meurtres par balles: les marchands de munitions (K-Mart), ceux qui profitent de l'exploitation des pauvres (Dick Clark) et ceux qui encouragent la détention d'armes (Charlton Heston).

14 février 2007

Résumé du Film Farenheit 911

fahrenheit911

                            Farenheint 911               

À la fin du documentaire Fahrenheit 9/11, palme d'or à Cannes en 2004, Michael Moore cite plusieurs passages, relatifs à la guerre, du célèbre roman de George Orwell, 1984.

Le personnage principal de cette histoire d'anticipation, Winston Smith, travaille au Ministère de la Vérité, l'un des puissants organes de la propagande du Big Brother, dictateur régnant sans partage en Océania. Souhaitant s'engager dans la résistance afin de combattre le régime totalitaire imposé par le Parti et son chef, Winston décide, après avoir loué chez un vieil antiquaire une chambre vierge, pense-il, de tout écran qui tapisse généralement les murs à l'intérieur des maisons, d'entreprendre la lecture du fameux « livre » intitulé « Théorie et pratique du collectivisme oligarchique ». Ce livre est écrit par celui que l'on considère comme l'Ennemi du Peuple, Emmanuel Goldstein.

Au cours du chapitre 3 de l'ouvrage, Goldstein se livre à des réflexions sur la guerre qui oppose les trois grandes puissances mondiales, l'Eurasia, l'Estasia et l'Océania. On apprend par la suite que ce manifeste, qui dénonce l'autoritarisme du régime de Big Brother, a été écrit vraisemblablement par O'Brien lui-même, membre éminent du Parti intérieur et qui soumet, dénoncé par l'antiquaire, Winston Smith à la torture. Ce chapitre a pour titre le fameux slogan « La guerre c'est la paix ». Voici l'un des extraits mentionnés, en partie, dans Fahrenheit :

« La guerre est engagée par chaque groupe dirigeant contre ses propres sujets et l'objet de la guerre n'est pas de faire ou d'empêcher des conquêtes de territoires, mais de maintenir intacte la structure de la société ».

Dans le film, le recrutement des futurs marines se fait dans les villes sinistrées par le chômage et souffrant de l'absence d'une véritable politique économique et sociale en faveur des personnes en difficulté, le plus souvent des jeunes. Les soldes versées aux nouvelles recrues pourraient très bien devenir des salaires, contreparties d'un travail décent, moins belliqueux et destructeur pour ces jeunes en marge de la société ainsi que pour leurs familles. Mais Orwell le dit bien : « La guerre donc, si nous la jugeons sur le modèle des guerres antérieures, est une simple imposture. Elle ressemble aux batailles entre certains ruminants dont les cornes sont plantées à un angle tel qu'ils sont incapables de se blesser l'un l'autre. Mais, bien qu'irréelle, elle n'est pas sans signification. Elle dévore le surplus des produits de consommation et elle aide à préserver l'atmosphère mentale spéciale dont a besoin une société hiérarchisée ».

Cette "atmosphère mentale spéciale" dont parle l'écrivain rejoint celle que montre le cinéaste : la crainte, la haine, l'humeur flagorneuse et le triomphe orgiaque. L'un des intervenants dans le film, psychiatre, explique que la peur est entretenue par un climat de menace terroriste permanente, pas toujours au rouge mais suffisant pour maintenir un niveau d'alerte continue. Il s'agit de faire croire à la population qu'il existe un véritable danger dans tout le pays. Illustration de ce qu'a écrit le romancier un demi-siècle auparavant :

« L'atmosphère sociale est celle d'une cité assiégée dans laquelle la possession d'un morceau de viande de cheval constitue la différence entre la richesse et la pauvreté. En même temps, la conscience d'être en guerre, et par conséquent en danger, fait que la possession de tout le pouvoir par une petite caste semble être la condition naturelle et inévitable de survie ». Tout cela parce qu' « une société hiérarchisée n'est possible, nous dit-il, que sur la base de la pauvreté et l'ignorance ».

« Il est nécessaire, poursuit Orwell, qu'il (le plus humble membre du parti, c'est-à-dire à peu près n'importe quel sujet de la nation) ait la mentalité appropriée à l'état de guerre. Peu importe que la guerre soit réellement déclarée et, puisque aucune victoire décisive n'est possible, peu importe qu'elle soit victorieuse ou non. Tout ce qui est nécessaire, c'est que l'état de guerre existe ».

L'irréalité de la guerre au sens où l'entend Orwell ne signifie pas pour autant l'absence totale d'actions militaires. Cependant les bombardements, les combats, n'ont plus pour objectif de vaincre un ennemi et d'envahir son pays, mais de le soumettre essentiellement pour des raisons économiques afin de servir les intérêts privés des Nations puissantes - ainsi que ceux de leurs dirigeants -, qui ne sont autres, il faut bien se résoudre à l'admettre, que les modèles de la démocratie contemporaine. Triste constat et les exemples se multiplient.

Carlo Ginzburg, lors d'une conférence donnée à la BNF en janvier 2001 et intitulée « Lord Kitchener vous regarde », analyse l'impact qu'a eu l'affiche représentant Lord Kitchener, nommé ministre de la guerre en août 1914, placardée sur tous les murs de Londres. Les jeunes, voyant cet homme en gros plan de face, le regard légèrement strabique mais hypnotique, l'index pointé sur le spectateur, lisant l'inscription « YOUR COUNTRY NEEDS YOU », s'enrôlèrent massivement, animés d'un fort sentiment patriotique. Si, comme nous le dit l'historien, l'affiche « présupposait deux traditions picturales partiellement superposées, l'une impliquant des figures frontales d'omnivoyants, l'autre des figures pointant leur doigt en raccourci », cependant, « ces procédés picturaux, seuls, n'auraient pas suffi à faire surgir l'affiche de Lord Kitchener. Il faut chercher son lieu de naissance dans un autre milieu visuel, la langue vulgaire de la publicité ». Prenant appui sur des exemples de publicités de l'époque, il montre que le but était d'attirer, d'arrêter l'attention du passant et de le menacer, quoique de manière plaisante, en incorporant un personnage, le plus souvent d'un pays lointain et hostile, qui lui fait face et le regarde. Il cite, en outre, un biographe du Lord qui fait allusion au Big Brother d'Orwell lorsqu'il commente cette fameuse affiche. Ce qui l'amène à conclure la conférence sur ces propos :

« Mais les lecteurs de 1984 se souviendront que la guerre contre l'Eurasie est une mise en scène. Telle l'affiche de Kitchener qui effaça Kitchener le général, la guerre télévisée est plus authentique que la guerre réelle. Big Brother, vraisemblablement, n'existe pas : il est un nom, un visage, un slogan - semblable à une affiche qui fait la réclame pour un produit commercial. En 1949, lors de sa première publication, 1984 fut lu un peu partout comme un livre de la guerre froide ; ses allusions à la terreur stalinienne paraissaient évidentes. Cinquante ans après, le livre d'Orwell paraît de plus en plus prophétique. Sa description d'une dictature fondée sur les médias électroniques et le contrôle psychologique peut être aisément adaptée à une réalité plus proche de nous, qui n'est pas entièrement invraisemblable ».

Mais l'historien s'arrête là. Il ne nous révèle pas le fond de sa pensée. Qu'entend-t-il par : « une réalité plus proche de nous » et qu'il ne considère pas comme étant totalement invraisemblable ? Il nous laisse deviner en quoi le livre d'Orwell est prophétique au début du XXIème siècle et surtout de quelles dictatures s'agit-il véritablement.

Au-delà de la propagande se cache, dans la guerre perpétuelle, de véritables enjeux : les rapports de pouvoir, la stabilité des structures sociales, les intérêts des puissants groupes industriels et financiers.

« Le problème, nous révèle le romancier, étant de faire tourner les roues de l'industrie sans accroître la richesse réelle du monde. Des marchandises devaient être produites, mais non distribuées. En pratique, le seul moyen d'y arriver était de faire continuellement la guerre. L'acte essentiel de la guerre est la destruction, pas nécessairement de vies humaines mais des produits du travail humain ».

La guerre permanente est juteuse pour l'industrie de l'armement, mais elle permet également d'employer une main-d'oeuvre souvent sans qualification et rejetée du système économique. Je pense à une réplique d'un jeune noir de Flint (Michigan), ville natale de Moore, et qui a vu les images de Bagdad à la TV : « On se croirait à Flint sauf qu'ici on a pas eu de bombardements ». Si la guerre permanente disparaissait, les structures sociales seraient difficiles à maintenir en l'état. Les revendications deviendraient trop bruyantes. Il vaut mieux alors envoyer ces perturbateurs potentiels à des milliers de Km combattre un ennemi fabriqué de toutes pièces à coups de médias.

Peut-il en être autrement ? À ce moment aussi Moore rejoint à mots couverts Orwell. Je cite à nouveau un passage de 1984 :

« La guerre, comme on le verra, non seulement accomplit les destructions nécessaires, mais les accomplit d'une façon acceptable psychologiquement. Il serait en principe très simple de gaspiller le surplus de travail du monde en construisant des temples et des pyramides, en creusant des trous et en les rebouchant, en produisant même de grandes quantités de marchandises auxquelles on mettrait le feu. Ceci suffirait sur le plan économique, mais la base psychologique d'une société hiérarchisée n'y gagnerait rien ».

Cette main-d'oeuvre pourrait donc être employée différemment, même à effectuer des tâches inutiles comme le suggère cet extrait. L'idée est empruntée à l'ouvrage de J. M. Keynes qui a révolutionné la pensée économique du XXème siècle, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, publié en 1936. Keynes fait le constat que le secteur privé ne peut à lui seul résoudre le problème du chômage. L'intervention de l'Etat s'avère indispensable même s'il faut employer les chômeurs "à creuser des trous dans le sol connus sous le nom de mines d'or" (« digging holes in the ground known as goldmining ») en attendant une solution meilleure. L'expression est utilisée par l'économiste de Cambridge à la fin de la section VI du chapitre 10 :

« Les dépenses sur fonds d'emprunt (l'investissement public financé par l'emprunt) peuvent, même lorsqu'elles sont inutiles, enrichir en définitive la communauté. La construction de pyramides, les tremblements de terre et jusqu'à la guerre peuvent contribuer à accroître la richesse, si l'éducation des hommes d'Etat dans les principes de l'Economie Classique s'oppose à une solution meilleure (...) ; et que la plus acceptable de toutes les solutions consiste à creuser dans le sol des trous connus sous le nom de mines d'or (...). Si le Trésor était disposé à emplir de billets de banque des vielles bouteilles, à les enfouir à des profondeurs convenables dans des mines désaffectées qui seraient ensuite comblées avec des détritus urbains, et à autoriser l'entreprise privée à extraire de nouveau les billets suivant les principes éprouvés du laisser-faire (...), le chômage pourrait disparaître et, compte tenu des répercussions, il est probable que le revenu réel de la communauté de même que sa richesse en capital seraient sensiblement plus élevés qu'ils ne le sont réellement. A vrai dire, il serait plus sensé de construire des maisons ou autre chose d'utile ; mais, si des difficultés politiques et pratiques s'y opposent, le moyen précédent vaut encore mieux que rien ».

Keynes qui va reprendre cette idée au chapitre 16 de son ouvrage (« creuser des trous dans le sol »), envisage cette solution comme un moindre mal face à la situation du chômage. C'est bien sûr un exemple limite car pour lui « il n'est pas raisonnable qu'une communauté sensée accepte de rester tributaire de semblables palliatifs ».

Dans l'extrait que j'ai cité Keynes n'exclut pas la guerre comme moyen extrême d'accroître la richesse du pays, mais il s'agit pour lui de montrer les limites d'une politique économique qui ne fonderait pas son action sur les véritables éléments qui influencent ce que Keynes appelle « the effective demand ». C'est cette demande des consommateurs qui, anticipée par les entrepreneurs, doit normalement déterminer le niveau de la production et par conséquent le niveau de l'investissement (1) et celui de l'emploi.

Orwell estime qu'il y a une différence entre creuser des trous pour les reboucher et entretenir un état de guerre permanent. Keynes aurait, sans aucun doute, partagé les réflexions d'Orwell(2) sur la guerre s'il avait vécu quelques années de plus pour pouvoir lire le roman visionnaire de son concitoyen. Moore ne fait pas explicitement référence à Keynes, mais les principes de l'analyse économique sont en filigrane de son film.

Vidéo de farenheit 911:  http://gigistudio.over-blog.com/article-4090856.html

FAHRENHEIT 9/11

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14 février 2007

Lettre de Michael contre WW.Bush et sa politique

Lettre Ouverte de Michael Moore

Cher Président,

D’abord merci pour ton discours à la nation, c’est bon de savoir que tu nous parles encore après ce qu’on t’a trafiqué en novembre. Ecoute, je peux être franc ? Envoyer encore 20.000 hommes, ça ne me semble pas assez pour arranger la situation. Ça voudrait dire seulement ramener le nombre de soldats au niveau de l’année dernière. Et nous l’année dernière on était déjà en train de perdre !

On a déjà expédié en Irak plus d’un million d’hommes depuis 2003. Quelques milliers de plus c’est loin d’être suffisant pour trouver les armes de destruction massive qu’on cherche ! Enfin, je veux dire... pour trouver les coupables du 11 septembre et les traîner en justice ! Non, pardon, j’oubliais ça aussi... voyons... ah voilà : pour apporter la démocratie au moyen orient ! Excellent, essaye ça... Président, il faut montrer beaucoup plus de courage, mon vieux. Celle là il faut la gagner. Bon sang, tu as eu Saddam, non ? Tu l’as pendu à l’arbre le plus haut ! Pas mal la vidéo, on avait l’impression d’être revenus à ce bon vieux West avec le bourreau encore plus canaille que le voleur de chevaux, avec lynchage et tout le reste.

Ecoute, je dois le reconnaître, je suis embêté avec ces ennuis où tu t’es fourré. Comme a dit un jour Ricky Bobby, si t’es pas le premier t’es le dernier. Et franchement, le fait que tu sois humilié comme ça devant le monde entier, ça ne nous apporte rien de bon, à nous les ricains. Chef, écoute moi. Toi, ce n’est pas des milliers, c’est des millions de soldats que tu dois envoyer en Irak. La seule façon de s’en tirer cette fois c’est d’inonder l’Irak avec des millions de nous autres ! OK, j’ai compris, tu es à court de soldats, alors regarde un peu autour de toi. Tu dois te mettre ça dans la tronche que la seule façon d’avoir un pays de 27 millions d’habitants, l’Irak, c’est d’y envoyer au moins 28 millions d’américains. Voilà, ça, ça marcherait...

Facile : les 27 premiers millions se payent chacun un irakien, comme ça la rébellion on la règle rapide. L’autre million s’arrête là bas et reconstruit le pays, facile, non ? Bon, je sais ce que tu vas me dire maintenant : où je les trouve les 28 millions d’américains prêts à partit en Irak ? Quelques suggestions : 1. Il y en a déjà plus de 68 millions qui ont voté pour toi, il y a deux ans (et ça faisait déjà un an et demi qu’on était dans une guerre qu’on savait qu’on allait perdre...). Je suis sûr qu’au moins un tiers d’entre eux sera disponible pour mettre son corps là où il a déjà mis son vote, et qu’ils vont signer comme volontaires. J’en connais un paquet, et je suis sûr que c’est pas le genre qui demande aux autres d’aller se battre là où ils jugent eux que c’est nécessaire, en restant planqués en Amérique.

2. Commence une campagne de fêtes type « Fais toi un irakien party » et lance-la dans tout le pays. Je sais que ça fait trop tendance 21ème siècle mais je suis déjà allé à ce genre de petites fêtes et je t’assure, ça t’épaterait le nombre d’idées innovantes qui commencent à sortir au troisième mojito... moi je dis que 5 bons millions, là, tu les trouves facile.

3. Envoie en Irak tous les journalistes des grands médias. Après tout ils t’ont donné un sacré coup de main pour nous flanquer dans cette guerre, et il y en a déjà un bon tas que tu as entraîné comme embedded ! Après ça, si on n’en est pas encore aux 28 millions, engage de force tous les téléspectateurs de Fox News, tu devrais y être. Président Bush, ce n’est pas le moment de lâcher ! C’est le moment d’être fermes, et de ramener des résultats à la maison ! Donc ne va pas faire la gonzesse en lésinant sur les soldats. Pars avec ton peuple et conduis les toi-même comme un vrai commandant en chef ! Qu’il ne reste pas un seul modéré derrière ! En avant toutes ! En ce qui nous concerne nous à gauche, je te promets qu’on ne reste pas loin, on écrira souvent. Vas-y Georges, et prends les tous ! Bien affectueusement, ton Michael Moore

14 février 2007

Introduction

                                               TPE- Le cinéma De Michael Moore

-Problématique:                           michael_wideweb__430x392

Quel vision de l'Amérique Michael Moore veut-il démontrer dans ses deux films : Farenheint 911 et Bowling for Columbine ?

-Plan:

I-Farenheit 911

II-Bowling for Columbine

III-Moyens et procédés

Tout d'abord nous allons de parler de l'auteur de ses films :

-Biographie

Né à Davison (Michigan), fils d'une secrétaire et d'un ouvrier employés dans l'usine General Motors basée à Flint (Michigan), neveu d'un des fondateurs du Syndicat des Travailleurs de l'Automobile (UAW), Michael Moore était prédestiné à devenir un « col bleu ». A 18 ans, il est élu au conseil d'administration de son lycée (Davison High School), où il devient l'un des plus jeunes Américains à accéder à une fonction publique. Il se fait le porte-parole des étudiants.

Abandonnant ses études de journalisme à l'Université de Flint, il fonde à 22 ans le Flint Voice, un journal alternatif qu'il dirige pendant 10 ans.

Ses premiers engagements politiques sont à l'extrême gauche américaine. Il apporte son soutien au régime de Daniel Ortega au Nicaragua et dénonce l'embargo contre le régime de Fidel Castro à Cuba.

-Filmographie:

(Dans ce premier article plusieurs lien Hypertexte ont été mis en place pour faciliter la compréhension et pour découvrir des choses non expliqué dans le TPE).


Sicko (2007)

Fahrenheit 9/11 (2004)

Bowling for Columbine (2002)

The Big One (1998)

Canadian bacon (1995)

Roger et moi (1989)

Dans ce Tpe nous ne parlerons que deux de ses films : Bowling For columbine et Farenheit 911

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Michael Moore-TPE
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